Camp de proteste G-8 rencontre le chef de police

Pour une conversation dans le cadre de la préparation du proteste contre les G-8 des représentants du groupe camp se sont rencontrés le vendredi après-midi avec des représentants de la police à Bad Doberan. Les deux côtés étaient d?accord que les critiques de la mondialisation attendus pendant la période du proteste auront aussi besoin d?hébergement. Tandis que l?intérêt des officiels est, suivant les mots du chef de police Knut Abramowski, surtout de garantir la sécurité des visiteurs d?État officiels, l?intérêt des critiques de globalisation est surtout de trouver un lieu organisé par eux-mêmes à une distance adéquate du centre des protestes pour leur séjour d?à peu près dix jours.

En tant que résultat de la conversation, Dieter Rahmann du groupe de travail du camp souligna: « Nous sommes pas beaucoup plus intelligents qu?avant la conversation. La police continue de nous faire attendre. »

Dans la conversation il régna accord sur le fait qu?un ou plusieurs camps seraient bien nécessaires, le chemin d?y arriver pourtant reste dans le brouillard. Les membres du groupe de travail du camp critiquèrent que la police ne faisait toujours pas de déclarations claires sur l?étendu du domaine de sécurité à l?extérieur des palissades. « Les habitants et les maires se sont montrés toujours de nouveau incertains s?ils pouvaient nous donner leurs terrains pour un camps ! » expliqua Adolf Riekenberg du groupe du travail camp.

« L?on ne saura pas si c?est incompétence ou purement manque de volonté si l?unité spéciale Kavala pour des mois après le début de son travail ne veut toujours pas s?exprimer sur les domaines, dans lesquels elle verrait des camps comme une infraction contre son concept de sécurité. » Ainsi Riekenberg. De même, suivant la déclaration de Knut Abramowski, il reste toujours ambigu si la ville de Bad Doberan tombait dans un secteur spécial de sécurité.

Les membres du groupe du travail camp ont expliqué à la police encore une fois que le camp de proteste commercial à Bützow ne joue pas un vrai rôle pour le proteste social de large envergure. Le camp à Bützow était beaucoup plus éloigné, il sera organisé sur une base commerciale et « en plus il est refusé par presque tous les groupes essentiels dans le spectre du proteste », déclara Riekenberg.

Les partenaires sont convenus sur une autre rencontre la semaine prochaine.

Membres de la délégation des membres du groupe proteste :

  • Adolf Riekenberg, Groupe Camp, cercle de coordination d?Attac : tel. : 0175-4254928 ;
  • Dieter Rahmann, Groupe Camp, homme de gauche flottant, tel. 0179-6268785 ;
  • Monty Schädel, Alliance contre les G-8 Rostock, Mecklenbourg Poméranie occidentale, porte parole Société allemande de paix, 0177-8871014 ;
  • Birgit Schwebs, membre du Parlement régional, Mecklenbourg Poméranie occidentale, Parti de Gauche